Gage pour Maître Justin

Catégories : REEL FESSESTIVITES
il y a 7 ans

Lors de notre dernière rencontre, la semaine passée, Maître Justin m'a fait part de son intention de travailler mes tétons pour les développer et mon cul pour l'assouplir. C'est dans cet objectif qu'il m'a donné l'ordre de porter des pinces aux seins ce jeudi 15 juin et un plug le vendredi 16. De plus, ces deux jours-là, je ne devais pas porter de sous-vêtement.

Pour les pinces, il s'agit de pinces "maison" faites avec deux allumettes teintes en rouge et tenues par un élastique à une extrémité. Plus on insère le téton près de l'élastique et plus ça pince fort. Je les ai donc mises en place jeudi matin avant de partir au travail, alors que j'étais nu dans mon pantalon. Je l'ai fait avec beaucoup d'anxiété car je n'avais jamais eu les tétons pincés pendant une journée. Mon Maître ne m'avait pas dit de tenir la journée, en fait, mais le plus longtemps possible.

J'avais interprêté cela comme "tenir la journée si j'en étais capable". Et je ne m'en croyais pas capable. Je les ai donc mises en place en pensant devoir les retirer à peine deux heures plus tard. Puis je suis allé au travail. En fait, je ne sentais la douleur que dans les moments d'inactivité. Mes tétons m'ont lancé périodiquement mais pas trop fort et pas en permanence. J'ai envoyé régulièrement des photos et des petits rapports à mon Maître. Vers midi, il m'a annoncé son intention de me faire porter les pinces le lendemain également, en plus du plug. J'ai été très inquiet, f o r c é m e n t. Finalement, j'ai déjà pu tenir le jeudi et ce n'est que de retour chez moi, le soir, que je les ai retirées, avec soulagement quand même.

Le lendemain matin, avant de partir, j'ai donc mis le plug en place. C'est un jouet de 13 cm de long sur 4 à l'endroit le plus large. Il n'est donc pas tout petit, sans être énorme non plus. Je devais le garder jusqu'à après le repas de midi. Puis j'ai mis le pantalon directement sur ma peau et, de nouveau, les pinces aux tétons. Ne pas porter de caleçon m'inquiétait quant au port du plug. J'avais peur qu'il se fasse la belle et glisse le long de ma jambe dans la matinée. J'appréhendais aussi beaucoup la pose des pinces car mes tétons étaient encore sensibles de la veille. La pose des allumettes s'est bien passée. Mais c'est en bas que le problème s'est vite posé. Alors que je sortais de chez moi pour entrer dans la voiture, je sentais bien que quelque chose n'allait pas entre mes fesses. J'ai donc dû m'arrêter sur une aire d'autoroute en chemin pour remettre en place, au chaud, l'engin qui était déjà sorti aux trois quarts.

Je l'ai bien calé entre mes globes et je suis reparti. Trop bien tenu, il n'a plus recommencé. Arrivé au travail, j'ai ressenti une nouvelle angoisse. J'espérais que ma démarche ne trahirait rien car, malgré tout, je sentais bien que j'avais quelque chose en moi et je crevais de trouille à l'idée que ça ressorte et fasse une bosse indiscrète sur mon popotin. Je voulais donc serrer les fesses mais pas trop non plus de peur de l'expulser. Pendant la matinée, je suis allé vérifier une fois aux toilettes qu'il tenait bien en place. Rassuré, j'ai un peu cessé de m'en inquiéter. Et, comme je travaille assis, ma démarche ne m'a pas souvent gêné. Au niveau de la poitrine, le téton droit se montrait le plus douloureux mais, comme la veille, finalement, j'ai pu supporter le traitement car je ne sentais rien quand je m'occupais. Et, encore, comme la veille, j'ai fait des rapports à mon Maître.

Finalement, malgré mes inquiétudes, tout s'est bien passé. J'ai pu tranquillement retirer le plug à la pause de midi après le repas et les pinces le soir avant de quitter le travail (car j'avais un rendez-vous chez le médecin en sortant). Ce matin, samedi 17, mon cul se porte très bien. Les tétons, eux, sont encore tout turgescents et très sensibles. J'espère qu'ils vont pouvoir se reposer un peu avant notre prochaine rencontre le vendredi 23 juin. Je sais déjà que je devrai reporter les pinces en attendant Maître Justin. Je vous remercie, Maître, pour ces moments que vous me faites vivre. Vivement vendredi. songeur

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